Le Malade Imaginaire
Agenda
Culture LoisirLe 05 juin
Venez découvrir une version moderne du Malade Imaginaire, une version théâtrale majuscule, portée par une direction d’acteurs hors normes. Un conte…
Palais des Rencontres
Le 15 oct.
Vous avez un projet associatif ? L’Agglomération vous aide à le réaliser. Envoyez votre dossier de demande de subvention grâce au formulaire en ligne avant le 15 décembre 2024.
En savoir plus sur l'alerte
16 sept. au 07 oct.
Agenda
Culture LoisirNé au Burkina Faso en 1988, Kader Kaboré est à la fois artiste plasticien et designer industriel. Depuis près d’une quinzaine d’années, il détourne des objets usuels ou destinés à la benne pour en faire de véritables oeuvres d’art. Kader Kaboré peut transcender un objet du quotidien comme une natte, pour en faire un lieu de voyages vers l’imaginaire. Espace de repos et de convivialité, la natte est au coeur des rapports humains en Afrique de l’Ouest. L’artiste métamorphose cette matière tissée et colorée grâce à des techniques diverses : aplats de couleurs peintes, broderie, assemblage avec d’autres matériaux... Kader Kaboré ouvre de nouvelles possibilités de narration, infinies et fascinantes.
Visite avec Kader Kaboré
sam. 23 sept. à 14h15
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Atelier créatif avec Kader Kaboré
sam. 23 sept. à 15h
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Le Silo U1 - Château-Thierry
mercredis et samedis | 13h30-17h30
Ouverture de 13h30 à 17h30 pour les Journées européennes du patrimoine :
samedi 16 et dimanche 17 septembre
Conception Kader Kaboré
Productions en résidence à L'échangeur-CDCN
Amélie Fontaine est dessinatrice mais pas que. Elle travaille aussi le tissu, la céramique, et même le pain. Comme une naturaliste, elle observe le monde, les plantes et les animaux, pour mieux le réinventer à sa façon. Elle déploie un univers aux formes simples et colorées qui, en quelques aplats et autant de traits, nous rapproche de l’enfance. Constamment à la recherche de nouvelles techniques, elle navigue entre l’art et l’artisanat pour déployer toutes les facettes de son histoire naturelle rêvée. Artiste en résidence au FRAC Picardie en 2022, elle présente ici l’exposition Pain perdu, dans laquelle se côtoient animaux et personnages tout droit sortis de son imagination.
Visite avec Amélie Fontaine
sam. 16 sept. à 14h15
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Atelier créatif avec Amélie Fontaine
sam. 16 sept. à 15h
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Visite avec Amélie Fontaine
sam. 16 sept. à 14h15
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Atelier créatif avec Amélie Fontaine
sam. 16 sept. à 15h
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Création Amélie Fontaine
Amélie Fontaine est artiste en résidence au FRAC Picardie / Hauts-de-France
Jusqu’à quel âge est-il possible de danser ? La danse est-elle l’apanage de corps jeunes et virtuoses ? Chorégraphe, danseuse et chercheuse, Cécile Proust s’est intéressée aux corps vieillissants qui dansent encore. Avec son complice Jacques Hoepffner, elle filme des danseuses et des danseurs de plus de soixante-dix ans qui poursuivent leur carrière : Dominique Boivin, Carolyn Carlson, Germaine Acogny, Susan Buirge, Yvonne Rainer... Grâce à une installation vidéo constituée de plusieurs écrans, ces chorégraphes et interprètes exceptionnels dialoguent depuis leurs continents respectifs et leurs cultures pour partager généreusement leurs réflexions sur ce que l’âge apporte à la danse.
Atelier de pratique avec Cécile Proust
sam. 30 sept. à 10h
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Visite avec Cécile Proust
sam. 30 sept. à 16h30
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Dans un pas de deux fascinant, se joue la rencontre d’un homme et d’un objet. Pièce en forme de trio pour danseur, cercle métallique et violoncelle, Ellipse questionne le fragile équilibre qui guide cette rencontre. Qui apprivoise qui ? Qui impulse le mouvement ? Inventée au début des années 2000, la roue Cyr est constituée d’un simple anneau de métal d’environ deux mètres de diamètre capable de tournoyer sur lui-même à l’infini. Sur les notes lentes et graves du violoncelle, la roue Cyr abolit les lois de l’espace pour dessiner un mouvement hypnotique. Dans l’épure et l’intensité de ce moment hors du temps, l’homme et le métal fusionnent dans un même amour pour l’ivresse du mouvement.
Dans un pas de deux fascinant, se joue la rencontre d’un homme et d’un objet. Pièce en forme de trio pour danseur, cercle métallique et violoncelle, Ellipse questionne le fragile équilibre qui guide cette rencontre. Qui apprivoise qui ? Qui impulse le mouvement ? Inventée au début des années 2000, la roue Cyr est constituée d’un simple anneau de métal d’environ deux mètres de diamètre capable de tournoyer sur lui-même à l’infini. Sur les notes lentes et graves du violoncelle, la roue Cyr abolit les lois de l’espace pour dessiner un mouvement hypnotique. Dans l’épure et l’intensité de ce moment hors du temps, l’homme et le métal fusionnent dans un même amour pour l’ivresse du mouvement.
Comment clore une carrière de trente-six années de création ? George Appaix, devenu chorégraphe presque par hasard, signe un répertoire de vingt-six pièces créées par ordre alphabétique. Depuis Antiquités en 1985 à XYZ ou comment parvenir à ses fins en 2019, il a déployé au fil des années un langage singulier et infiniment vivant, à mi chemin entre le corps, le son et les mots. En guise de dernière révérence, il offre aux côtés de sa complice Carlotta Sagna un appendice ludique et joyeux qui revient de façon toute personnelle sur son parcours. Attrapés au fil de la pensée, ces fragments parlés et dansés nous parviennent, éclairant avec humour et élégance la recherche d’une vie.
Pourquoi tant d’interprètes disparaissent des plateaux passé un certain âge ? Comment le geste s’adapte-t-il au corps qui vieillit ? Comment la virtuosité technique est-elle peu à peu remplacée par une intériorité puissante qui irradie la danse d’une lumière nouvelle ? À travers son ample projet de recherche autour du vieillissement des danseurs, Cécile Proust a dialogué avec des artistes aussi bien qu’avec des sociologues, des philosophes, des anthropologues ou des historiens. Aux côtés de la chorégraphe et pédagogue d’origine jamaïcaine Elsa Wolliaston et de la danseuse et historienne de la danse Elisabeth Schwartz, elle imagine une conférence dansée pour partager le fruit de ses questionnements.
Vieux, qu’est-ce que ça veut dire ? « Je sens que ma peau flétrit, que mes cheveux tombent et que mes voutes plantaires s’affaissent » affirme Dominique Boivin. « Mais quand je danse, je n’ai pas d’âge ! ». Après une carrière de danseur et de chorégraphe d’une richesse extraordinaire, Dominique Boivin imagine un solo dans lequel il revient sur son parcours. Au fil des anecdotes, celui qui a marqué l’histoire de la nouvelle danse française déploie le panorama de ses années sur scène. À travers son regard, nous plongeons dans près d’un demi siècle de danse. Avec fantaisie et humour, ce Jacques Tati de la danse contemporaine invite d’anciens compagnons de route et nous embarque dans ses adieux à la scène, imprévisibles et joyeux.
Comment garder infiniment vivant l’héritage de Pina Bausch ? Florian Heinzen-Ziob filme à deux endroits du globe des projets de transmission de l’oeuvre légendaire de la chorégraphe allemande. À Dresde, les danseurs classiques du ballet s’apprêtent à danser Iphigénie en Tauride quand trente-six interprètes venus de toute l’Afrique et réunis à l’École des Sables au sud de Dakar s’approprient le Sacre du Printemps. Guidés par des interprètes historiques du Tanztheater de Wuppertal, les jeunes artistes se glissent dans les gestes de Pina Bausch avec leurs parcours de vie singuliers. Dans un bouleversant élan, ils et elles insufflent leurs personnalités hors du commun à ces chorégraphies historiques, autant qu’ils et elles se laissent métamorphoser par la danse.
Comment réenchanter nos imaginaires sensuels ? Le rappeur Law offre avec Liquides lyriques un véritable manifeste érotique queer qui célèbre la fluidité des genres et des désirs. Au coeur de l’intimité, il soulève avec acuité les questions du consentement, de l’acceptation de soi et de l’autre. Depuis une dizaine d’années, Law déploie un univers engagé, sensible et percutant qui fait des mots des armes d’émotion massive. Aux côtés de son acolyte DJ Dirty Berlin, il imagine un concert-spectacle dans lequel le rap et le spoken word rencontrent les platines et la vidéo pour évoquer avec tendresse et authenticité la puissance de nos corps et de nos désirs.
Qui sont les Ulysses contemporains ? Héros mythique, Ulysse traverse les mers et affronte les multiples péripéties qui se présentent à lui. La danseuse et chorégraphe Lou Cantor invite une dizaine de personnes venues d’ailleurs, et hébergées aujourd’hui dans des structures d’accueil, à partager ce qui les constitue. Ils et elles ont entre dix et quatre-vingts ans, dansent sur du Bach et sur d’autres musiques du monde, chantent, racontent leur histoire et leur culture. Présentée pour la première fois en 2018, la pièce est recréée avec des personnes accueillies à Reims. Résolument tournée vers l’avenir, Épopées offre à chacun·e la possibilité de partager toute la richesse de son histoire.
Comment (re)tisser des liens entre l’humain et le paysage ? Comment reconnecter le minéral, le végétal et l’animal ? À travers de multiples rituels de reliement, la nouvelle création du chorégraphe Daniel Larrieu cherche à rétablir un dialogue avec le monde qui nous entoure. En forme de triptyque, Pan Plis Peau est un voyage qui nous mène de l’intime au collectif. Un solo masculin (créé au festival C’est comme ça ! 2022), un trio féminin et un quintet réunissant tous les interprètes se font écho. Sur une musique spécialement composée par Rubin Steiner, le mouvement traverse les corps et saisit l’essentiel de ce qui sommeille en nous. Quelque part entre l’ombre et la lumière, la danse invente une nouvelle écologie des sens.
Dounia a six ans quand la guerre en Syrie éclate. Alors elle quitte Alep et part sur les routes de l’exil avec Tété Mouné et Jeddo Darwich, ses grands-parents adorés. Au creux de sa poche, elle emporte quelques graines de nigelle aux pouvoirs magiques extraordinaires qui l’aideront, comme la Princesse d’Alep, à surmonter les épreuves. À travers ce conte initiatique merveilleux, Marya Zarif raconte aux enfants l’histoire des migrant·e·s et partage la beauté de la culture arabe. Poétique et émouvant, ce premier long métrage de la réalisatrice révèle la lumière là où plane la noirceur. La joie inébranlable de Dounia et l’optimisme rayonnant des personnages qui l’entourent donnent un espoir immense dans la puissance de vie qui sommeille en chaque humain.
Que faire de la violence qui hante nos imaginaires collectifs et surgit parfois au plus près de nous ? Puisant dans la peinture, la sculpture et le cinéma, la chorégraphe anglo-américaine Ruth Childs se laisse traverser par la violence pour la transformer en une matière expressive puissamment vivante. Avec ses grimaces formidables et la tension implacable de ses muscles, elle sort de son propre corps pour nous entraîner avec elle vers des affres mystérieuses et grandioses. Les percussions martèlent le rythme, la tension sculpte le corps, la bouche éructe les mots. Dans un jaillissement tragique et beau, Ruth Childs exorcise avec ce solo les pulsions sourdes inhérentes à notre humanité.
Danser Monet ? Emmanuel Eggermont, plonge dans les reflets aquatiques des toiles du peintre impressionniste pour composer une pièce chorégraphique en forme de jardin graphique. Dans un univers à l’abstraction géométrique envoûtante, cinq interprètes sondent la répétition du motif des Nymphéas, exploré par le peintre à travers plus de deux cent cinquante toiles. Les silhouettes deviennent un paysage de matières et de textures à la beauté élégante, qui se jouent des brillances et des diffractions. Sur une musique électronique originale, ce poème visuel nous transporte dans un Eden hypnotique qui questionne ce qui nous meut et nous émeut au plus profond.
Avec leur farouche détermination, Karym, Marwan, Freddy, Elliot et Mohamed ont décidé de devenir danseurs professionnels. Ils viennent des quartiers sensibles de Lyon, là où danseur n’est pas vraiment un métier. Aux côtés de l’autrice Anne Rehbinder, du metteur en scène Antoine Colnot et du chorégraphe Amala Dianor, ils domptent peu à peu le feu bouleversant qui les habite pour le déployer dans toute sa puissance sur le plateau. À travers ce documentaire, Anne Rehbinder filme trois années de travail intense et réjouissant avec ces cinq danseurs magnifiques, en vue de la création de la pièce Urgence. Envers et contre tout, on les voit s’élancer vers leur désir et arracher leur liberté.
Comment nous abriter de la folie du monde ? Une famille d’écoclowns-queer-marginaux fait exploser avec maestra une fête joyeuse, extravagante et colorée dans laquelle le grotesque et la démesure impétueuse permettent de bâtir un abri modeste. Huit danseurs et une musicienne soubassophoniste inventent un refuge carnavalesque où la grimace, le rire et la mélancolie deviennent des outils pour métamorphoser notre rapport à la catastrophe imminente. La liesse, l’excès et la pulsion vitale suspendent pour un instant le pessimisme ambiant. Au capitalisme dévorant qui voudrait nous faire croire que nous sommes immortels et surpuissants, le chorégraphe brésilien Volmir Cordeiro oppose la puissance du collectif et de l’invention débridée.
En prélude à la Nuit de la Danse, le festival C’est comme ça ! propose chaque année aux enfants et à leurs parents de partager un moment en famille autour de la danse. Pour cette édition, Marc Lacourt, artiste associé à L’échangeur viendra parsemer de propositions facétieuses cet après-midi unique. Visites des expositions, ateliers de pratique artistique, rencontres avec des artistes, projection de films autour de la danse dans le plus petit cinéma du monde... il y a de quoi remplir sa tête et son corps de mille mouvements !
Il était comment le monde avant qu’on l’appelle monde ? Pourquoi devrait-on obligatoirement appeler un chat un chat ? Ne pourrait-on pas tout réinventer et dire le mot poule pour désigner un arbre ? L’autrice-dessinatrice Delphine Perret et le danseur-bricoleur Marc Lacourt bousculent toutes nos certitudes. Ils renversent l’ordre établi pour créer un univers loufoque et absurde où seuls règnent les pouvoirs joyeux de l’imagination. Ici, avec un peu de malice, tout devient possible ! Avec une planche, trois bouts de ficelles et quelques crayons de couleurs, ils nous invitent à rêver, à s’amuser et à fabriquer collectivement un monde nouveau.
Quel moment plus adapté que la nuit pour se laisser surprendre par les découvertes les plus inattendues ? Pour se laisser dériver vers des univers singuliers ? Avec sa désormais fameuse Nuit de la danse, L’échangeur clôt le festival C’est comme ça ! dans une explosion de mouvements partagés et de rencontres joyeuses. Le temps d’une soirée, de nombreux artistes surprises investissent tous les espaces de la friche U1 pour des formes courtes et vivifiantes. Concocté sur mesure, ce programme aussi éclectique que palpitant invite à partager collectivement les plaisirs de la danse. Et pour prolonger la fête, le dancefloor est ouvert à tous ceux qui souhaitent danser à leur tour ! Laissez-vous surprendre par la Nuit !
En continu jusqu'au bout de la nuit
Créé en 1991, L'échangeur - CDCN s’est donné pour missions : le soutien à la création et à la production artistique ; la diffusion des œuvres chorégraphiques ; le développement de l’action artistique et culturelle sur le territoire. Depuis 2006, L'échangeur dispose d’un studio de répétition à Château-Thierry dans les anciens locaux de l’Usine Lu, dit U1. En 2012, une salle de création voit le jour à U1 et en 2013, un deuxième studio est aménagé dans ces mêmes espaces. L’installation du CDCN à Château-Thierry s'est terminée en 2014 avec l’arrivée des bureaux à U1 et un espace d’hébergement pour les équipes invitées. L’échangeur a acquis une reconnaissance institutionnelle en devenant scène conventionnée en 2004, pôle artistique régional pour la danse en 2007 et enfin Centre de Développement Chorégraphique en 2011.
Publié le : 11 août 2023
Dernière mise à jour : 05 octobre 2023
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Venez découvrir cette artiste, on dit que la voix est un miroir de l’âme. Aussi y a-t-il de la mélancolie et du soleil, de l’assurance et de la douceur dans…
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Venez découvrir le dimanche 16 mars, à 17h, salle des fêtes de Fère-en-Tardenois, un concert a capella, composé de 5 chanteurs que l’amour du chant choral a…
Fère-en-Tardenois
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Culture LoisirLe 28 févr.
Rendez-vous au foyer Rural de Condé-en-Brie, à 21h, pour y découvrir la grande histoire d'Aznavour, par la compagnie La Ronde de Nuit.
Foyer Rural de Condé-en-Brie